mardi 2 juin 2009

Barbie Corto. Copyright Pratt. Royalties Colette.

Quand le bobo s’entiche de la bande dessinée, c’est pour de vrai!




Hugo Pratt a revêtit son attirail de couturier pour tailler à la serpe une série de caban présentés chez Colette dont l’inspiration directe est assuréé par l'interim du plus malte des héros britannique – Corto Maltese- à renfort de laine, d'épaulettes, d'angles droits et de gros boutons.

Cette collection joue les prolongations de la rétrospective du vêtement marin au Musée de la Marine.

Une collection qui veut prendre du galon?

La grande Braderie de la Mode. Assche-ment bien. Copyright (Jésus - ) Kris.

C'est reparti pour un tour! Entrée libre pour qui a déjà testé les blazers St-Laurent à -70% l'année précédente. Une ritournelle parrainée par (Jésus-)Kris van Assche cette année. Bénéfices reversés en faveur d AIDES dans le très bobo 10 arrdt.

Entrée libre -85-87 rue du Faubourg Saint Martin 75010 Paris.
Horaire - Samedi 6 juin 9h/19h & Dimanche 7 juin 12h/18h

mercredi 27 mai 2009

Définition du blog. Copyright Karl Lagerfeld. Estampille blog Interviewmagazine.com.

“A collection is not just one basic idea. It comes from something that is in the air, something you suddenly like and put down on paper and then work out. People today are so used to taking one theme and staying with it all the way. I don’t do that. It’s about cut, about construction. I wanted shoulder, but a new volume, so I made what I call the Big Shoulder. I’m more interested in working out technical ideas than I am in themes or illustrating a scene or a country or whatever”.

Karl Lagerfeld à propos de l’élaboration de ses collections.
Interview par Sigrid Agren pour interviewmagazine.com

lundi 25 mai 2009

Good morning England. Pas de quoi casser trois pattes à un canard mais pas que. Copyright vietnamien.

Good morning England où le soufre de la radio libre.

In situ
Années 60 - Les radios libres émettent leurs ondes depuis la frontière fragile de la Mer du Nord.

Une flopée d’animateurs tentent de renverser le code de l’establishment sur fond sonore du rock des années sixties.

Uns scenario simpliste dans un décor pétillant.

Pas de quoi percer le mystère de la génèse rock sulfureuse de ces années érogènes.
Juste de quoi s’amuser à intervalles régulières des blagues grasses, savoureuses des itinérants de la voix radiophonique.

Rebondissements au sein de l’équipe, vie sexuelle active, groupie, mariage éclair, alcool sont autant de poncifs élimés du genre.

Avec au milieu un jeune Werther en quête de première expérience amoureuse et de recherche paternel

Une honte pour qui se réclame de la caution intellectuelle des années rock.

Une aubaine pour rire pour ceux dont les semaines sont trop longues au travail.

Un bilan mi figue mi raisin qui s’achève en eau de boudin lorsque le bateau naufragé sauve ses trublions de la noyade

Rolling Stones, Small Faces, les Who, The Kinks, les Beach Boys, moody Blues et Bowie avec un rafraichissant let’s dance viennent arroser ce cocktail sans alcool.


Bref, bande son sympathique, film sympathique m’enfin. Voilà quoi.

Feel good movie. Bonne nuit les Petits.

Etreintes brisées. Copyright sirop de Cannes. A consommer sans modération.Ultime Almodovar









Auto-référence

A la manière de "La Fleur de mon secret" où Amanda Gris dévoilait déjà le scenario de volver, on peut s’attendre à ce que les entrelacs de sa future intrigue naisse en direct live

Une mise en bouche façon cluedo

La duplication de la mise en scène de "Femmes au bord de la crise de nerf" factorise le rôle du metteur en scène, de sorte que c’est Almodovar qui est mis en scène par ses propres acteurs.

Le film instille ce dépassement sans briser la chaîne narrative classique.
Un procédé dont on ne sait s’il est metaleptique ou s’il est le hasard de la recherche.
Du moins, à l’écran.

Jeu de bonneteau entre les metteurs en scène, donc.

Gaspacho, las canarias & autres poncifs

Les poncifs d’un cinema espagnol racé prennent forme dans les paysages et les accessoires – les quiproquos, le gaspacho, Lanzarote & consortssont autant de subterfuges pour échapper à la loi narrative des apparences des sujets.

Il propose, le spectateur dispose. Une scène rejouée. Une scène montée plusieurs fois.

Autant d’investigation critique de la part du voyeur.
Les poncifs de l’actrice qui se fait tirer littéralement le portrait en Marylin ou Audrey Hepburn à des fins promotionnelles sont autant de tentatives pour desceller la duplication du phénomène de la starification

Pour défiger l’actrice de son masque de glamour.

Le poncif du metteur en scène qui se tape l’actrice n’est autre que pour libérer l’actrice de son sex appeal.

Elle vit cette relation physique seulement pour prolonger cette relation physique que l’on voit naitre dans leur collaboration.

Il en résulte un film de metteur en scène et d’acteur surprenant par la duplicité des rôles et des enrôlements

Rôles & enrôlements

La femme enrôlée par son mari et le rôle du metteur en scène sont la cible d’Almodovar.

Leur apparition commune en atteste dans la presse ou ils ont souvent éplucher du regard les objectifs comme un prolongement du questionnement.

Penelope a même disparu un temps des interview presse.

Cérémoniaux de couplitude

Penelope use du vieux pour arriver à dessein. Actrice.
Elle joue son rôle
Elle se desenrôle de cette relation pour prendre place aux cotés du metteur en scène.
Lequel lui laisse le champs libre pour évoluer.
Elle meurt de la prise en fuite du vieil homme et de la capture du metteur en scène.

Le montage de la pièce reprend la même progression

Comme une partie d’échec.
Les temps impartis pour le tournage et l’incubation des relations procèdent d’une témérité scénique ambitieuse.

Jeu d’identités

Harry Caine et Mateo Blanco.
La femme d’una utre et l actrice mangeuse d homme
Le fils caché d un auteur a succès et le jeune banal
L agent froide et l amoureuse jalouse
Le fils homosexuel obeissant et le fils en deuil en proie a la vengeance
La liberté et la capture
L amour et la mort
La vie et la renaissance
La mise en scene et la scene

Un film de genre

Comédie. Sentimentale. Dramatique & dramaturge.

Une scène

Le baiser cinématographique à Lanzarote au milieu du paysage volcanique. Le poncif ou pas.

Une œuvre.

mercredi 20 mai 2009

Lacoste meets Andrea Crews. Jeu, set et match. Copyright inspiré.



















Il réside un équilibre dans la rupture esthétique.
Carrefour entre le pastiche et la vérité.
L’ironie qu’elle véhicule n’est autre que l’essence d’une marque.

Lacoste meets Andrea Crews.

Ace !

vendredi 15 mai 2009

Définition du style. Copyright The Sartorialist. Equation sans inconnu (-es)

"Great personal style is made up of a certain percentage of "always" items and methods, mixed with a certain percentage of "sometimes" fashions, and a certain percentage of "nevers"

S.A.S Scott Schuman